Rêves d'un mouton electrique

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jeudi 12 mars 2009

La Quadrature du Net a appelé à un black-out contre la loi HADOPI

HADOPI - Le Net en France : black-out

La Quadrature du Net a appelé à un black-out contre la loi HADOPI ou « Création et Internet ». Cette campagne d'information et de sensibilisation des élus aux enjeux de cette loi inefficace, inapplicable, et dangereuse, a suscité de nombreuses interrogations propices au débat. En voici quelques unes :

http://www.laquadrature.net/fr/guide-du-blackout-HADOPI

lundi 28 avril 2008

Il faut reprendre le sport !

Partout il y a des signes et parfois les plus évidents ne sont pas les plus faciles à voir. Depuis plus d’un mois je porte des baskets tous les jours, celle-là même qui me servent à faire mon footing habituellement. Plus d’un mois que je n’ai pas couru régulièrement, ou je traine les pieds pour aller nager ou soulever de la fonte. En fait je dirais même que je ne vais pas très bien en ce moment, j’ai du mal à me vider l’esprit et à me réjouir de l’instant. Tout change et je me laisse glisser doucement vers la déprime. Il faut que j’arrête de me plaindre et de nager dans les négativités ; je vais bouger de mon canapé et reprendre le sport !

lundi 24 mars 2008

L'illusion de la négativité

Je reviens tout juste du Népal, J’ai trié les photos dimanche et ce matin. Je ne me trouve pas très beau en ce moment, je trouve mon visage trop gros. C’est une négativité que je dois dissoudre mais j’ai du mal car je suis mélancolique. Je devrais être joyeux a l’idée de retrouver Hervé tout à l’heure mais un tas d’idées négatives et d’anxiété me mettent à mal. Je n’ais pas beaucoup méditer durant mon séjour et j’ai beaucoup de mal à m’assoir en ce moment. Je voudrais bien dissoudre tout cette négativité avant de retrouver Hervé.

samedi 29 décembre 2007

Reporter la faute sur autrui n’est qu’une manière de perpétuer la souffrance

Reporter la faute sur autrui n’est qu’une manière de perpétuer la souffrance. Avec la colère, la frustration et le ressentiment qui vont de pair.

Qu’elle belle phrase du Dalaï-Lama ! J’envie cet homme qui semble appliquer à sa vie ses paroles sages. Aujourd’hui, j’étais serein en attendant Hervé. J’avais accepté mon absence forcé de dimanche minuit, j’avais accepté le week-end de la saint-sylvestre à Strasbourg annulé, accepté la désinvolture d’Hervé sur l’organisation du nouvel an à Paris. 16H : coup de théâtre ! Mes neveux sont chez moi jusqu'à dimanche, est-ce que tu m’en veux ?

Après la colère l’acceptation (20 minutes de méditation). Si j’oublie mon égo et que je tente de me mettre à la place d’Hervé. Qu’est-ce qui le pousse irrémédiablement à faire sorte que l’on passe au max 24h ensemble (sauf quand je le prends en otage) ? Les causes sont multiples : le très fort attachement à sa mère et sa sœur, sa peur d’être découvert (afficher en fait car personne n’est dupe), MOI ? Je m’explique je suis un être compliqué (comme tous) mais j’ai appris à exprimer mes émotions (psychothérapie), je suis cultivé (crois l’être), j’ai un peu d’argent. Est-ce que ces apparences font peur au petit enfant malheureux de la cité ?

dimanche 21 octobre 2007

Triste et heureux dimanche

Ce matin lorsque je me réveil je constate que je suis seul dans mon lit. Je me console un maximum en m’entourant de cousins. Après un café au lait de soja, petite séance de méditation pour donner de l’ « amour tendresse » à Hervé et à sa sœur. Avant midi phase 1 (toujours) de ma rééducation pendant 40min, pour ceux que cela intéresse voici le lien : http://etmoi.free.fr

Après le déjeuner, je pars a la recherche d’un tapis ! Orange et moelleux si possible ! Je vais de magasin en magasin, je me sens de plus en plus mal. Heureusement le signe arrive, le téléphone sonne pour le travail (je n’achèterais pas de tapis qui ne me plait pas). Je fais mon travail durant 3 heures, je ne pense qu’a cela, c’est reposant (sauf que je dois me lever à 6 H du matin demain).

Il est 20H, la solitude me pèse, je vais au BP… Je lis le blog de céline (j’apprends des choses sur ma mère), je lis les SMS d’Hervé (3 en tout, il a du tomber en panne de batterie ce week-end). Voilà mon illusion de ce dimanche

mardi 21 août 2007

Mes doutes

Comment lutter contre son égo ? Comment vaincre toute ses pensées négatives qu’il nous insuffle ? Cette semaine promet d’être riche en émotion et je n’arrive pas à dormir, je n’arrive pas à faire le vide de mon esprit. Je pense que mon travail y est en partie pour quelque chose, il a occupé mon esprit entièrement jusqu'à 20 heures, ne laissant aucune place pour d’autres idées. Ses idées non débattues par la nature incertaine permanente de mon esprit, m’assaillent de doutes et me mène à la confusion.

Rien n’empêchera la sortie de vendredi et même dans ce cas cela ne remet pas en cause mon être et ma relation de couple.

La transition importante que je vais vivre est une bénédiction, renoncer à ce qui à été m’apportera une grande quiétude.

Je suis fou aujourd’hui, demain j’aurais l’esprit plus clair et je dois accepter cette oscillation permanente

dimanche 15 juillet 2007

Le silence et la poudre

L’odeur de la poudre est encore présente dans mon appartement, je profite de l’heure qu’il reste avant le retour des voitures sur le quai pour ouvrir grand les fenêtres, profiter de la quiètude du bord de seine et des derniers pétards. J’ai regardé seul le feu d’artifice cette année encore mais avec un état d’esprit différent puisque Hervé était dans chacune de mes pensées, il me manque terriblement, il à choisi de garder le silence aujourd’hui. Hier soir nous avons parlé très longuement puis nous avons partagé plus que cela en visioconférence. Il n’a pas répondu à mes trois messages du 14 juillet et je n’aime pas cela…

jeudi 28 juin 2007

Rien n’espérer, rien n’exiger

Je ne sais pas comment expliquer ce que je ressens. Pour explorer le champ des possibles, le bricolage est la méthode la plus efficace. Aujourd’hui 2 SMS, Un de ma messagerie pour le boulot, une réponse d’Hervé. 2 appels téléphoniques sur mon mobile pour mon boulot. Une cinquantaine de mails pour le boulot, un de Jeff qui me donne des infos sur les randos en solitaire en auvergne. Je pourrais disséquer mes sentiments, les expliquer d’un point de vu freudien, cela ne m’empêche pas de souffrir et de vouloir taire cette souffrance qui est la preuve même que je vie. Rien n’espérer, rien n’exiger, quel tâche difficile !

mercredi 13 juin 2007

Etre patient, lui faire confiance.

Je dois faire preuve de patience jusqu'à aout pour qu’il soit plus disponible. Je dois lui faire confiance, lui laisser toute sa liberté afin qu’il puisse régler ses problèmes. Il ne me permet pas d’entrer dans son univers, je suis aveugle et je dois prendre le risque d’exposer mon moi profond de manière unilatéral. Le manque est une souffrance et une manière d’idéaliser l’être aimé. Mettre plus de distance aujourd’hui, c’est prendre le risque de laisser plus de place à l’aventure humaine au début d’une histoire naissante. Je dois me réjouir de chaque instant partagé avec lui et ne rien exiger d’autre, ne rien implorer pour ne pas dénaturé son individualité, mais aussi ne pas vivre dans les projections de l’autre, pour me permettre d’être moi-même.

Aujourd’hui il m’a oublié ! Et pour me préserver, pour ne plus être « l’oublié » je me suis rendu indisponible. En tout cas indisponible dans les fenêtres de temps ou il est libre, peut-être pour donner une valeur supplémentaire à mon temps, au temps que chacun prend pour l’autre, que l’on partage avec l’autre.

samedi 9 juin 2007

Surmenage vacancier

Je suis épuisé, je ne me remets toujours pas de ce mélange d’énergie de 11 jours et de 40 plongeurs. Je suis triste sans vraiment avoir de raison et je débloque un peu question alcool. C’est fou ce que l’alcool peut me désinhiber, je dis ce que je pense sans calculer et tous ceci a l’air de plaire aux autres. J’ai organisé un barbecue familial avec une amie, j’ai repris contact avec Jean-Michel pour courir ensemble, je me suis exprimer pour la première fois sur ce que je pense de la relation mère-fils d’Hervé. En effet, celui-ci est apparemment décider de revivre avec sa mère et sa sœur, je ne sais pas s’il se rend compte qu’il est en train de se construire une prison (quand quittera-t-il sa mère ?). Cet après-midi je finalise un projet de mise en cluster puis direction la maison familiale.

lundi 30 avril 2007

Deux pavés de saumon salés

Trois jours que je devais cuisiner ces pavés de saumon ; je les avais acheté vendredi pour Hervé avec une boite de caviar d’aubergine pour ensoleillé son assiette. Il n’avait pas faim, enfin pas faim d’aliment. Il avait besoin de m’embrasser, besoin de m’étreindre, besoin de nourriture affective.

Je dois cuisiner ces morceaux de poisson aujourd’hui afin qu’ils ne se perdent pas, Ils auront un gout salé. Les pois gourmant, les carottes, les courgettes le seront aussi. Je souffre de solitude : " un seul être vous manque, la terre est dépeuplée" disait Lamartine. Je me suis servi un verre de FourRoses sans glace, le choix de cet alcool n’est pas sans signification lui aussi

dimanche 29 avril 2007

Le manque crée t’il l’attachement ?

Etre séparé de ce que l’on aime est souffrance, et je suis insatisfaisant du temps qu’Hervé me consacre. Aujourd’hui je manque d’appétit du bonheur, trois jours à passer seul et ou il me manque cruellement d’épices. Je suis triste, je vois Hervé online sur MSN, je n’ais pas envie de dialoguer avec lui. D’une part parce que je lui ai déjà fait part de ma souffrance hier soir ; qu’il est dangereux de se laisser captiver par celle-ci. D’autre part, le substitue qu’un Tchat pourrais me procurer me parais insipide ; je n’ai aussi pas envie de le laisser se dédouaner en me tenant éveillé sur MSN.

Je suis bancal, le karma de ma vie est déséquilibré. Je devrais me réjouir de ce qu’Hervé m’a donné vendredi. J’attends quelque chose en retour à ce que je donne et ceci est défavorable à mon être et à notre relation. Le manque crée l’attachement mais l’attachement est’ il une preuve d’amour ?

mardi 30 janvier 2007

45 Jours d’espoir

« Nous serons amis mais plus amants », c’est les mots que freddy à choisi pour me dire que je lui demandais trop. Pourtant lundi soir j’avais encore de l’espoir avant notre diner dans l’intimité de son appartement. J’étais soulagé de ma peur de perdre, de ma peur de ne plus le revoir, je me doutais que notre relation serait différente mais j’avais l’espoir que l’on reste amants. Nous avons diné ensemble, nous avons partagé un verre de bordeaux, nous avons rit puis nous avons parlé, longuement, au-delà du 45eme jour. Il n’a pas de place dans sa vie pour ce que je demande, il aurait une place pour moi en tant qu’amis, en tant que frère d’âme. J’ai pleuré, pas lui. Il m’a étreint, longuement. Nous nous sommes embrassé, timidement.

« Ne change pas, ne change rien, ne te remet pas en question. Ne m’en veux pas, c’est moi.» Ce matin en buvant mon café, les larmes ont coulés. Cet après-midi j’ai réussi à rire de moi, des autres. Je ne sais pas très bien si je pleure pour lui ou pour moi, je ne lui en veux pas, j’en veux un peu à moi-même. « Je ne suis qu’une marche, notre rencontre n’est pas fortuite » J’aurais voulu avoir plus de temps, j’aurais pu mieux lui montrer qui j’étais, lui montrer qui il était.

Je ne suis plus le même homme qu’avant, lui non plus. Je suis mélancolique, mon manque d’affection m’oppresse, m’emprisonne, me conditionne. Seras t’il l'ami vertueux, le miroir dans lequel il me sera possible de me voir tel que je suis ?

mercredi 24 janvier 2007

Psychose ou névrose légère

Est-ce que mon sens des réalités est altéré ? Mon anxiété est-elle excessives et incontrôlable ? J’ai du mal à me concentrer, Je suis épuisé et fébrile. Tout ceci laisse le champ libre aux maladies opportunistes (rhume, états grippaux). Je pense savoir ce qui me rend anxieux aujourd’hui, pourtant hier ma peur était sans objet. J’ai un sentiment pénible d’attente, j’exagère surement le fait de n’avoir pas eu de réponse à mon SMS, je m’interroge surement trop sur l’avenir.

Suis-je normal ? Puis-je interagir réellement avec le monde ? Ma peur de rien augmente au cours des heures qui passent. Je délire sans addiction. J’ai des nœuds dans le ventre et je ne sais pas comment calmer ces douleurs. Je suis désarmé

mardi 12 décembre 2006

Le stylo déprimant

J’écris de plus en plus souvent sur ce blog, je ne sais pas si c’est bon signe… Ecrire à le mérite d’organiser mes idées confuses qui s’entrechoc tel des électrons libres. Le résultat est parfois effrayant. Que s’est’ il donc passé aujourd’hui pour que je sois triste et angoisser ? J’ai travaillé tout la journée à sèvres sur un système de sauvegarde réseau récalcitrant (leurs réseau est une catastrophe), quelques problèmes mon résister et je ne suis pas content du résultat de mon travail (j’aurais dû faire mieux). J’ai mangé un excellent couscous, le serveur métisse était plutôt beau gosse, il utilisait un stylo rainbow flag. Au moment de l’addition il a fini par me sourire ! (pourtant je ne me fais pas d’illusion, il n’est pas ne mon envergure). Ce soir je fais des bulles (comprendre bloc de plongée/piscine), je n’ais pas très envie de m’y rendre, mais je fais un effort comme toujours pour ne pas casser la dynamique de reconstruction que j’ai initié. Dans 15 jours je serais à Pau ou je vais surement passer de bon moment avec ma famille.

Ce qui me déprime, je pense, c’est mon incapacité à créer des liens. Je n’envoi pas les bons codes. Ces codes me sont obscurs ! En fait dans le trouble de mon ambivalente sexualité, la possibilité d’un enjeu sexuel bloque ma communication avec les hommes ou les femmes de ma génération. Ce n’est qu’une hypothèse et je cherche ce qui pourrait en être la cause. Souvent il est conseillé de rechercher dans son enfance et je me souviens avoir vécu une histoire traumatisante : alors que j’aimais bien me rendre au catéchisme, j’ai fini par en avoir la phobie car le groupe était monté contre moi ! J’avais eu le malheur de ne pas attendre le « prédicateur de la bonne parole » qui était en retard et tout ce petit monde c’était ligué contre moi (mon cousin germain Stéphane en meneur), je crois que c’est à partir de là que mes relations avec les autres à sérieusement commencé à se dégradé. J’ai la faiblesse de penser que mon développement sexuel c’est arrêter, et le social largement altéré. Mais comment inversé la vapeur, comment désapprendre, comment apprendre ces codes. J’ai déjà essayé la méthode brutal et ça ne fonctionne pas vraiment, comment dire : « je bande mais je ne trippe pas ».

Le résultat est que la possibilité d’une aventure sexuelle ou simplement le désir provoque en moi des troubles morbides. Je me déteste parce que je me sais incapable de le réalisé (je me déteste aussi de ne pas avoir plus de désir hétérosexuel) ! C’est un vent de panique car la maitrise des gestes et des attitudes obtenue durant l’adolescence ne m’est pas acquise, pire j’ai développé des moyens de contournement (conscient ou inconscient) qui sont tellement efficace que l’autre ne se risque pas. Je désespère de trouver une solution, voilà je pleure …