Il nous arrive parfois de conclure que penser, c’est souffrir,
comme un voleur qui nous dérobe notre cadeau.
Que pouvons-nous faire pour cesser cela ?
Dans la journée il y a la lumière ; la nuit l’obscurité. Est-ce cela la souffrance ?
Les choses sont ce qu’elles sont,
et ce sont nos comparaisons des choses et nos “évaluations” qui nous font souffrir.