J’ai décidé de partir au Népal au mois de mars. Une semaine que cela me trottais dans la tête avec différentes questions : Pourrais-je poser suffisamment de jour de congé ? Mon Absence au cours et pratique bouddhiste sera t’elle tolérée ? Hervé ne souffrira t’il pas trop de mon absence ? etc …

Et puis je me suis rendu compte que je m’égarais dans de multiples pensées et de négativités. J’avais perdu le contrôle, perdu mon objectif. Je me suis recentré sur mon but et en une heure de temps, j’avais posé mes congés, prévenu mes collègues, réglé les formalités de mon inscription au voyage. Joyeux de cet accomplissement.

Se détacher de ce bavardage intérieur qui ne s’arrête pas nous offre la chance de ressentir une gaité spontanée. Quand la joie est présente nous sommes prêts à découvrir de nouvelles choses. Quand la joie est vraiment la nous vivons dans le présent.