Frôlant la chevelure d’Hervé, l'aigle entre en matière. Seigneur du ciel provins, il déploie ses deux mètres d'envergure et disparaît dans le ciel, avant de revenir sur le poing tendu du fauconnier. Plus tard un sourire enchanté est engendré par le contact d’une chouette sur son bras.

Quel effet aussi ressenti lorsqu’un aigle royal est tombé en piqué à nos pieds pour attraper l’appât que son fauconnier lui avait lancé. Avec l’obscurité arrive le Hibou grand duc, il se pose avec majesté sur la barrière devant nous, il nous regarde et nous interroge.

Pour finir, la chorégraphie des vautours. Le rapace n'a pas bonne réputation mais quand ses ailes immenses se déploient à quelques centimètres des têtes, l'émotion est à son comble.

Tant de joie, c'est vraiment trop inzuste.