Cette après-midi je me suis rendu au Cinécité de la Défense (comme souvent d’ailleurs) pour voir Paprika. J’aime bien les mangas surtout ceux qui traite du futur, du concept de réalité …, mais là je me suis endormi pendant vingt minutes ! J’ai trouvé le film complexe voir indigeste, un flot d’image ininterrompu qui devient vite soporifique !

A la sortie du cinéma, j’ai constaté que la galerie commerciale des Quatre Temps était ouverte ! Une foule immense qui se bouscule dans les escalators, une marée humaine sur le parvis de la défense, des centaines et des centaines d’acheteurs flâneurs qui s’arrachent les cadeaux bon marché que tout le monde s’offrent à noël.

Le foule m’angoisse et me rend triste, plus il y’a de monde, plus on est anonyme. Le rapport humain à humain n’existe plus, on fait parti malgré soi d’une masse. On vient en famille, entre amis, en couple, l’homme seul n’a pas sa place. Nietzche disait « je n’ai jamais souffert que de la multitude ».

Il est dimanche soir 19H, je suis triste, isolé, les idées les plus noirs refont surface.