Il est vendredi soir et je n’ais pas grand-chose d’intelligent à écrire. Je suis fatigué, pourtant en dehors du travail ce n’était pas une semaine plus chargée que le autres ; lundi : fosse de plongée, mardi : réunion, mercredi : muscu/cours de biologie sous-marine, jeudi : course à pied/entrainement picsine jacotot, ce matin Muscu et ce soir repos. Je n’ais pas envie de sortir, pas envie d’aller au cinéma. Je me sens seul dans mon studio, je crois qu’une grande partie de mes états d’âme sont lié à ma solitude même si ces derniers mois j’ai rencontré beaucoup de nouvelles personnes. J’ai besoin de complicité, d’amitié voir plus. Mais

« Il ne pouvait se mettre au diapason des autres. Son vouloir avait une sorte de paralysie, si bien que quand il se trouvait avec les gens sur un pied ordinaire, il causait pauvrement et à côté du sujet, comme une jeune fille évaporée. La conscience de son infériorité la rendait pire. Il enviait aux conducteurs de bestiaux et aux bûcherons de la taverne leur parler viril »

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